Au dessus d’eux se dressait l’imposante forteresse de Châtillon , cramponnée à son rocher inaccessible au levant et au couchant en raison de ses falaises à pic. Les serviteurs avaient disposé les ballots sur deux brancards et l’intendant les pria de les suivre sur le chemin qui gravissait la colline, se faufilant entre les cantonnements de la garnison, pour parvenir au pied d’un énorme escalier. Une longue volée de marches permettait de s’élever tout au long d’une imposante muraille pour parvenir jusqu’à la hauteur des créneaux.
|
une galerie naturelle qui traverse la position de part en part
|